LES FANTÔMES D’ALCATRAZ

Située au beau milieu de la baie de San-Francisco, la prison fédérale de haute sécurité d’Alcatraz abrita les plus grands criminels américains de 1934 à 1963, année de sa fermeture officielle.

Dix ans plus tard, le site fut ouvert au public et devint l’un des lieux touristiques majeurs de l’état de Californie.
Selon un bon nombre de visiteurs, un sentiment étrange vous envahit dès la descente du bateau qui mène à la forteresse et pour beaucoup, ses murs abriteraient aujourd’hui les âmes égarées d’anciens détenus…

Plusieurs témoins affirment avoir été confrontés à des apparitions d’ombres fantomatiques. La plupart auraient lieu dans le couloir principal de l’ancienne prison où trois détenus : Bernard Coy Joe Cretzer et Marvin Hubbard furent abattus le 4 mai 1946 alors qu’ils tentaient d’échapper à la vigilance de leurs gardiens.

Un air glacial venant de nulle part soufflerait également à proximité de la cellule d’isolement Cell-14 D.

Les historiens qui ont consulté les archives d’Alcatraz ont constaté que les rapports de l’administration pénitentiaire firent souvent état d’une série de phénomènes surnaturels. Cris étranges, sanglots, bruits de pas, odeurs se souffrent sans fumées apparentes ne sont que quelques épisodes parmi la multitude de ceux évoqués par les témoins de l’époque…

Plusieurs années après la disparition d’Al Capone, un gardien jura avoir entendu le banjo du parrain du crime à proximité de la salle de douches, en l’occurrence, à l’endroit précis où le parrain du crime avait pour habitude de jouer durant les cinq ans de sa détention.

De nos jours le bâtiment le plus hanté reste toujours le bloc D ou le « trou », comme on finit par l’appeler. La cellule 14D est extrêmement froide, même lorsque la température ambiante est supérieure à vingt degrés. Les visiteurs y sont saisis de violents frissons.
Lorsqu’ils entrent dans la cellule 12 D, ils racontent avoir la sensation d’être observé. Une entité malveillante rôdant par là est connue pour mettre ses doigts glacés du cou de nombreuses victimes infortunées.

Les gardiens du parc qui travaillent maintenant sur l’île vives au quotidien se genre de phénomènes étranges. Ils évoquent à la fois des bruits de vacarmes, les portes de cellules se refermant mystérieusement en claquant, les hurlements lugubres et la forte sensation d’être observés. Un enquêteur psychique, qui un jour visita l’île, raconta avoir ressenti une énergie sans précédent : des sentiments intenses de peur, de souffrance, de colère et de mauvais traitements.

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