Une mystérieuse présence sème le trouble dans une maison de retraite

Depuis quelques semaines, la maison de retraite de Bellissen est le théâtre d’une étrange activité nocturne. personnels et résidents de la maison de retraite vivent dans l’angoisse. Quelqu’un ou quelque chose semble rôder dans les couloirs la nuit…

C’est une histoire qui se rapproche plus de l’esprit d’Halloween que de celui de Noël…

La nuit, l’établissement compte trois aides-soignantes pour une centaine de résidents. Plongés dans le noir, les couloirs ne s’éclairent qu’au passage de quelqu’un. C’est là que les aides-soignantes ont remarqué « des faits inhabituels ».

Un homme au pied du lit ?

Des lumières allumées normalement éteintes donc, mais aussi des portes bien fermées retrouvées ouvertes quelques minutes plus tard… Et ce n’est pas tout. « Un pensionnaire aurait même vu un homme, assis au pied de son lit, qui l’aurait menacé de mort s’il criait », écrit La Dépêche.

La maison de retraite est équipée de caméras, mais celles-ci ne fonctionnent plus… De quoi susciter, légitimement, un malaise, voire une vraie trouille la nuit.

La direction a réagi en faisant appel à une société de surveillance. Rien à signaler sauf… un surveillant qui assure avoir vu « une ombre, vêtue d’une blouse blanche, derrière une baie vitrée ».

Une plainte a été déposée au commissariat même si, ni violences ni vols n’ont été signalés.

Une ombre « vêtue d’une blouse blanche »

Des portes ouvertes, alors qu’elles avaient bien été fermées quelques instants plus tôt. Des lumières allumées, alors qu’elles avaient été éteintes, c’est certain. Une présence, une menace, une ombre, dans les couloirs silencieux. Un pensionnaire aurait même vu un homme, assis au pied de son lit, qui l’aurait menacé de mort s’il criait. Il en a fait état le lendemain… « Les personnels sont affolés », résume Manuel Tellez, secrétaire général de la CGT-Chiva, qui explique également que les caméras de surveillance de l’établissement seraient… en panne. Et que le personnel d’astreinte effectue désormais ses rondes à trois.

La direction a donc décidé de prendre des mesures (« tardives », selon le syndicat) et de demander à une société de surveillance de faire des rondes. Ces rondes n’ont pas donné de résultats, même si l’un des agents dit avoir vu une ombre, vêtue d’une blouse blanche, derrière une baie vitrée.

Source : AFP / lavoixdunord / La Dépêche

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