Netflix prépare une série-documentaire consacrée aux lieux les plus hantés d’Amérique

La plateforme a décidé de renflouer son catalogue horrifique, en acquérant les droits d’une série-documentaire réalisée par Joe Berlinger sur les endroits réputés les plus hantés des États-Unis.

Halloween a beau être déjà passé, Netflix compte néanmoins jouer les prolongations et compléter sa collection de programmes qui tiennent en haleine.

C’est du moins ce qu’affirme le site Joblo’s Arrow in the Head, spécialisé dans l’actualité des fictions horrifiques, qui précise que le géant du streaming aurait acquis les droits d’une docu-série bien spécifique issue d’Imagine Entertainment, la société possédée par le réalisateur Ron Howard (Rush, Willow, Solo : A Star Wars Story) et le producteur Brian Grazer (Arrested Development).

Ce nouveau programme signé Joe Berlinger (Ted Bundy : Autoportrait d’un tueur, Extremely Wicked, Shockingly Evil and Vile) serait dédié aux lieux les plus effrayants et énigmatiques d’Amérique, réputés pour être hantés. La série, qui ne possède pas encore de titre, promet selon le site d’étudier « méticuleusement » les lieux-dits, et les mystères qui les entourent.

Si pour l’instant, aucune liste du parcours effectué par le documentaire n’a encore été communiquée, Joblo spécule que le Manoir Winchester et la maison qui a inspiré James Wan pour les films de la saga Conjuring pourraient faire partie du lot. Le couple ayant acheté la bâtisse, une ancienne ferme située à Harrisville, dans le Rhode Island, aurait pour projet de la rénover pour l’ouvrir aux visiteurs et aux éventuels enquêteurs dans peu de temps.

Cette nouvelle série rejoindra les quelques programmes du même genre proposés par Netflix à ses abonnés, dont L’irréel : incroyables témoignages (Haunted), un recueil de témoignages romancés sur les expériences paranormales vécues par des individus, ou un groupe de personnes. Des histoires glaçantes pour certaines, moins pour d’autres, regroupées en deux saisons de 6 épisodes, dont la réalisation très variable a été saluée de manière relative par la presse en octobre 2018.

Source : cinechronicle.com

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